AFFAIRE BENBARAKA Ahmed

Publié le par luisa.benbouzid@wanadoo.fr

  
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Notre camarade, membre actif du Comité Chômeurs et Précaires de Salon comparaîtra le vendredi 29/02/2008 à 08h00 devant le 13° chambre correctionnel de la cour d’appel d’Aix-en-Provence; au Palais de Justice Monclar, rue Peyresc, Aix-en-Provence.
 
Il sera assisté de M° RAVANAS, avocate de Salon, 36 rue Théodore Jourdan, 13300 SALON.
 
Rappel des faits :
 
-          Ahmed a été licencié en avril 2006 (pour faute grave). Il a été purement et simplement remplacé par une personne qui fonctionne avec les chèques « emploi-service ».
-          Après des mois d’harcèlement pour obtenir sa démission, la gérante de son entreprise : Le Château de Roussan à St Rémy de Provence a simulé une agression physique
-          Ahmed a été convoqué au tribunal de simple police de Tarascon où Il a été condamné sans preuve à une amende avec sursis de 600 € et 2 ans de prison avec sursis.
-          Ahmed a fait appel et il passe le 29/02/08
-          Tout ceci a retardé le passage devant le Tribunal des Prud’hommes d’Arles
-          Ahmed réclamait des dommages et intérêts pour licenciement abusif sans causes réelles et sérieuses. S’il perdait en appel sa défense serait bien mise à mal.
 
Nous vous appelons à soutenir notre camarade pour des marques de solidarité : pour les comités de chômeurs des Bouches du Rhône; présence physique au tribunal le 29/02/08 à 08h00 de nos camarades de UL d’Aix-en-Provence et de l’UD de Marseille est indispensable.
 
Pour les autres Comités Chômeurs de la France entière : apportez votre soutien par tous les moyens que vous jugerez bons de mettre en œuvre. Entre autre en envoyant des messages de soutien à M° RAVANAS par écrit (adresse ci-dessus) ou par fax au N° 04.90.58.91.44
 
Cette histoire est l’illustration de la mise à mort du code du travail, la mise en place du harcèlement comme moyen d’action du patronat pour licencier à tour de bras en faisant porter la responsabilité aux salariés.
 
C’est intolérable il faut se révolter et se battre avec la CGT.
 
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