Expulsion locative DE programmée pour MARS 2007
Début septembre Virginie fait appel au comite chômeurs et précaires car elle était menacée d’expulsion locative (avec concours de la force publique) pour dettes de loyers.
Cette jeune femme, à qui on a supprimé l’APL, se retrouve avec une dette de 4000€ et pour cause car depuis cette coupure (pour qu’elle comprenne qu’il faut payer) ses dettes s’accumulent à grande vitesse.
• De suite, nous alertons la préfecture qui nous assure que cette jeune femme ne sera pas expulsée.
En octobre nous lui expliquons qu’en réglant son loyer résiduel (part sans la prestation sociale suspendue) elle prouvera sa bonne foi et qu’au bout de trois mois celle-ci lui sera restituée, non pas pour l’assister mais pour éviter de cumuler une dette encore plus grande.
• A ce jour et avec la copie des mandats poste prouvant la bonne foi, l’APL n’est toujours pas débloquée.
• Le FSL ne peut être demandé car la dette dépasse le soit disant plafond du FSL qui est de l’ordre de 2000€…sans APL la dette va continuer d’augmenter !
Pour cette situation c’est simple « si et seulement si » on a la volonté d’aider les gens et pas de les mettre de suite en position de coupable présumé.
« Elle est de mauvaise foi….n’a pas répondu aux courriers qu’on lui a envoyé…..n’a rien fait comme démarche de relogement. .etc… »
FAUX : cette jeune fille voulait juste s’en sortir s’en avoir à se rabaisser …. Elle croyait pouvoir payer avant qu’on lui coupe les APL …… elle a juste voulu marcher debout seule et se retrouve aujourd’hui encore en suspend car le mois de mars arrive (et pas le droit opposable lui c’est pour 2012)
A ce jour le tribunal vient de lui accorder un délai supplémentaire jusqu’en juillet et un suivi locatif est mis en place.
Virginie faisait partie de la délégation reçue en préfecture le 30 janvier dernier avec et pour le comite chômeurs CGT , comme quoi la lutte dans certain cas ne produit pas l’inverse bien au contraire…………..
Le comite chômeurs et précaires CGT Nîmes
Cette jeune femme, à qui on a supprimé l’APL, se retrouve avec une dette de 4000€ et pour cause car depuis cette coupure (pour qu’elle comprenne qu’il faut payer) ses dettes s’accumulent à grande vitesse.
• De suite, nous alertons la préfecture qui nous assure que cette jeune femme ne sera pas expulsée.
En octobre nous lui expliquons qu’en réglant son loyer résiduel (part sans la prestation sociale suspendue) elle prouvera sa bonne foi et qu’au bout de trois mois celle-ci lui sera restituée, non pas pour l’assister mais pour éviter de cumuler une dette encore plus grande.
• A ce jour et avec la copie des mandats poste prouvant la bonne foi, l’APL n’est toujours pas débloquée.
• Le FSL ne peut être demandé car la dette dépasse le soit disant plafond du FSL qui est de l’ordre de 2000€…sans APL la dette va continuer d’augmenter !
Pour cette situation c’est simple « si et seulement si » on a la volonté d’aider les gens et pas de les mettre de suite en position de coupable présumé.
« Elle est de mauvaise foi….n’a pas répondu aux courriers qu’on lui a envoyé…..n’a rien fait comme démarche de relogement. .etc… »
FAUX : cette jeune fille voulait juste s’en sortir s’en avoir à se rabaisser …. Elle croyait pouvoir payer avant qu’on lui coupe les APL …… elle a juste voulu marcher debout seule et se retrouve aujourd’hui encore en suspend car le mois de mars arrive (et pas le droit opposable lui c’est pour 2012)
A ce jour le tribunal vient de lui accorder un délai supplémentaire jusqu’en juillet et un suivi locatif est mis en place.
Virginie faisait partie de la délégation reçue en préfecture le 30 janvier dernier avec et pour le comite chômeurs CGT , comme quoi la lutte dans certain cas ne produit pas l’inverse bien au contraire…………..
Le comite chômeurs et précaires CGT Nîmes